Je suis une araignée et alors streaming vf







Merci pour cette saison, mais si je suis perdu
Chris Taylor, un Australien de 42 ans, a découvert en février 2021 une araignée dans sa voiture et a, depuis, décidé de cohabiter avec elle.
« Elle est apparue un jour, il y a environ un an, sur le tableau de bord de ma voiture lorsque je me suis arrêté aux feux », a déclaré le quadragénaire au
Le passager clandestin de 15 centimètres, non dangereux pour l’homme, est alors devenu son animal de compagnie et il lui a même donné un petit nom : Steve.
Mais conduire avec un arachnide dans l’habitacle n’est pas chose aisée : « Je n’aime pas quand elle tombe sur mes genoux sans prévenir ou bien quand elle apparaît à 10 cm au-dessus de ma tête alors que je roule à 200 km/h », a déclaré cet Australien.
L’homme ajoute avoir fait des économies grâce à son nouveau compagnon car plus personne ne veut monter dans son véhicule, lui évitant ainsi de nombreux trajets.
Quant à l’animal, il semble s’être bien adapté à son nouvel environnement puisqu’il a doublé de volume en un an. « Je l’ai regardée grandir. Je l’ai sortie de la voiture il y a quelques mois, mais le lendemain, elle était de nouveau sous le pare-soleil. Pour une raison que j’ignore, elle aime bien être dans ma voiture », explique l’automobiliste.
À force de s’intéresser aux plantes, Henri Maleysson aura fini par se passionner pour « les petites bêtes qui vivent dessus ». D’abord les papillons et les libellules et, depuis six ans, les araignées. « Je me suis rendu compte que, dans le département, il n’y avait pas de spécialiste, explique cet ancien chef de gare, qui a travaillé trente-sept ans à Saint-Étienne. Alors qu’il y en avait une quinzaine ou vingtaine sur les papillons, dont des personnes très pointues. »
Dans cette aventure lancée un peu du jour au lendemain, il y a tout à faire. « La carte des araignées en Haute-Loire était presque blanche mais c’est plus compliqué à identifier que les papillons, poursuit le Blavozien. Souvent, mâle et femelle d’une même espèce ne se ressemblent pas. Il y a des couleurs et des modes de vie très variables. » Des éléments qui rendent sa quête encore plus intéressante.
Mais Henri Maleysson ne part jamais en expédition pour chercher quelque chose de précis. Il se balade, apprécie la nature, et attend la bonne surprise. « Je suis allé partout en Haute-Loire mais je n’ai pas tout vu, commente-t-il. Il faut savoir que lorsqu’on est dans la nature, il y a forcément une araignée à moins de 10 centimètres de soi. J’aime prendre mon temps. Il m’est arrivé de rester huit heures devant une toile en ayant une femelle et le mâle, pour avoir la danse nuptiale et la copulation. »